dimanche 29 juillet 2007

surinformation, desinformationmanipulation ?

le but des journeaux (écrits ou parlés) c'est de prendre des parts de marchés
le séjour de sarkozy a fait la une de tous les journeaux pour un fait anodin qui n'a rien coûté à la france,la fille de miterrand qui a couté et coûte encore n'a pas été dévoilée par les journalistes,
les médias disent un gendarme tue son supèrieur , il a des problèmes conjugaux, il monte chez lui et tue ses deux enfants, NON NON, ne pas donnez de raison, vous semez dans le cerveau des hommes, problèmes conjugaux = enfants, non dites : un gendarme tue sont supèrieur, et ce monstre tue ses enfants, accusez les coupables avèrés,
le chauffeur polonais a suivi son gps, non dites, le chauffeur est maitre à bord et même s'il ne sait pas lire les panneaux il doit savoir qu'une descente se fait sur la même vitesse qui lui aurait permi de monter il commence la descente en troisième , si la descente emporte trop vite son vhéhicule, il freine fort (les freins n'ayant pas servis sont en état et il rétrograde en seconde, le bus va aller moins vite trente ou quarante à l'heure, les passagers vont entendre le moteur mais ils seront sauf, le chauffeur est le seul responsable,
un chauffeur de ans dérangé par un insecte tue un enfant de deux ans, si un insecte gêne le chauffeur doit rester maitre de son véhicule, il peut s'arrêter,
tous les hivers dans le brouillard il y a d'énormes carambolages les médias devraient dire : un carambolage pour non respect des distances de sécurités et par broulliard la vitesse doit permettre de s'arrêter dans la distance du champs de vision, vous voyez à dix mètres adoptez une vitesse qui permet un arrêt sur m, environ vingt kmh,

1 commentaire:

Ghislaine a dit…

Plus loin que la question des journaux, je crois que tu poses là la question de la responsabilité. C'est une question qui malheureusement se pose de moins en moins ici aux USA car la réponse est toujours "c'est pas moi, c'est l'autre"", l'autre étant celui auquel on peut soutirer le plus d'argent en cas de procès, et donc souvent les grandes entreprises. D'ailleurs, les produits de consommation courante sont souvent couverts d'avertissements nous prévenant de tous les dangers que nous encourons si nous ne les utilisons pas exactement de la manière prescrite : on m'avertit par exemple que le berceau de mon fils c'est pour le faire dormir, pas pour le parquer pendant que je vais me faire un ciné. Sans rire. En fait, les entreprises font cela pour se protéger légalement d'une société extrêmement procédurière : vous ne pouvez pas me faire de procès si vous vous brûlez avec votre café puisqu'un avertissement sur le gobelet vous encourage à faire attention. Au final, on infantilise et déresponsabilise encore plus les gens qui ne se servent plus de leur bon sens.