A 11 ans je suis allé au collège, je partais tôt attendre le bus de ramassage scolaire et je revenais tard, je ne fréquentais plus les enfants du village.
Un dimanche, il faisait soleil, A et M(une fille de la maison derrière la notre), étaient avec moi, on avait décidé de se promener ensemble, j’avais un pantalon d’été bleu, je me baisse, j’entends une déchirure, je tâte et je découvre la déchirure de mon pantalon, je rentre en reculant chez moi et je mets un short, les filles n’ont pas apprécié « il fait chaud, mais tu étais mieux en pantalon mais je n’en avais qu’un et il était déchiré , finalement je n'ai pas vu grandir annick,
il y a eu beaucoup de mariage entre les enfants du village, dans notre famille pas du tout,
qui pourrait dire la vie de notre famille si mon père était instituteur ou facteur? Mais un fonctionnaire aurait il épousé une polonaise ? On ne peut pas refaire sa vie, ni même reculer d'un pas je l'ai regretté parfois, avoir une deuxième chance, non le pas fait et fait impossible de reculer, il fallait réfléchir avant, mais je me laisse emporter par mes sentiments ou par ma morale,
vant d’aimer marie j’étais au bal prin le samedi soir avec une bande de copains de longecourt, certain était là pour boire et se battre, j’étais là pour les filles, je dansais un slow et souvent j’embrassais à bouche que veux-tu, ensuite on allait s’asseoir à une table ou dans ma simca 1000, ma main allait sur la cuisse de la fille et remontait doucement j’qu’au slip et essayait de passer sous un élastique, elle disait : non, j’ai mes règles, ma main allait dans l’entrejambe et à travers le slip je sentais la serviette hygiénique et j’arrêtais mes recherches, je laissais tomber, je connaissais rien, je ne négociais pas de rendez-vous, ni d’autres activités sexuelles, caresse manuelle, buccale, ra^apport anal, rien, et 8 jours après au bal prin, petit papillon,
j’avais des connaissances sexuelles d’un gamin, j’étais un jeune homme pas mal fait, sympa, je plaisais aux jeunes filles et je disais les mots qu’elles souhaitaient entendre.
j’essayais de butiner une autre fleur, il se déroulait la même scène
j’ai lu une expérience : dans une salle avec des chaises identiques, les chercheurs ont fait asseoir une femme en pleine période d’ovulation, ils l’ont fait sortir et ont fait rentrer des hommes un par un leur ont dit de s’asseoir ou il voulait et les faisait sortir, tous les hommes se sont assis à la place de la femme, d’après les chercheurs c’est du à l’état de la femme, et ghis me dit à l’époque tu ne voulais pas d’enfant et incosciament j’ allais vers des filles qui avais leurres règles
un samedi soir un gars de la bande dit : j’ai dansé avec une belle fille sympa je ne voulais pas me faire voler ma place de leader je demande : ou elle est ? il me la montre et j’y vais, j’avais des cacahuètes, je lui en offre, un slow, je l’invite, elle dit oui, on y va, on danse, je serre, je caresse, tu t’appelles comment ? » marie t,
« Marie, qui voudrait votre nom retourner trouverait aimer aimez-moi donc marie » deux vers de Ronsard dans un bal monté, c’est pas mal, on est allé dans ma voiture, je demande : tu veux ? marie en larmes répond : » je ne peux pas, j’ai mes règles »
l’exploration de ma main vérifie ses dire, on se quitte sur un baiser, je n’ai rien négocié
8 jours plus tard au bal prin, j’étais assis une jeune femme vient me dire « une petite brunette attend un blondinet, elle est là-bas » il s’agit de marie et moi alors j’y vais, on a dansé discuté à la table de la jeune femme et de son ami dany ( un frère de marie)
dany dit » on va rentrer, je t’emmène marie »
je ne me souviens pas si c’est marie ou moi qui a dit on rentre ensemble, dany et moi on part en même temps, mais je m’arrête, marie et moi profitons de la nuit de son bon état pour aller au bout, après plusieurs tendres échange je reprends le volant, dany est dans la cours, il proteste » ça fait une heure que je vous attends, marie répond »désolée, on s’est arrêté, on a discuté, on n’a pas vu le temps passé, je ne sais pas s’il est dupe, mais il ne dit plus rienà la même époque (avant marie) un samedi je roule des pelles à une infirmière, le lundi , j’ai une gingivite, (je pense l’infirmière t’a donné ça)
je ne l’ai pas cherché.
Avec MC on était allongé sur l’herbe à coté du lac kir, j’avais mes doigts dans son sexe, tout mouillé, je sors mon outil, le voyant, elle dit « non, je ne veux pas », je remise mes affaires et on part, je ne me souviens plus ou, je roule vite, il y a beaucoup de virages, je suis, déçu, en colère, je veux lui faire peur, le seul à avoir peur c’est moi, dans les virages.
Je l’ai conduite chez elle, je ne l’ai pas revue, pas négocié un rendez-vous, qu’est-ce que j’étais con
Elle est venue chez moi, je n’étais pas là, ma mère l’a trouvé belle, tout bien : conversation, politesse, tout.
Qu’est-ce que j’étais bête, j’en ai loupé
La première fois que j’ai vu le père de marie , il m’a engueulé, il voulait que je ne revoie plus marie, je l’ai quitté en disant à bientôt, je n’avais plus 10 ans, je ne voulais plus que l’on me dicte ma conduite marie travaillait à l'école de seb je suis allé la voir le dimanche suivant je suis allé chez elle je suis rentré au salon me suis assis et dit au père de marie « faites comme chez vous asseyez vous « la conversation était lancée j'ai parlé plus que lui, les parents de marie étant très croyants pratiquants on écrit au curé de mon village pour savoir qui j'étais , réponse : « jamais vu » ils se sont retournés vers le maire du village , réponse : « un voyou quand il sort les parents rentrent leurs filles » quand marie fut enceinte sa mère voulait la faire avorter marie a dit non quand marie m'a annoncé qu'elle était enceinte j'ai répondu "c'est bien de prendre son enfant par la main de marcher à coté de lui"pour moi le mariage s'imposait la mère de marie n'a pas voulu de ce mariage chez elle donc contrairement à la coutume le mariage a eu lieu chez moi,la mère de marie a éxigé que marie enceinte ne se marie pas en blanc donc marie s'est mariée en portant une belle robe bleue, qu'elle était belle elle était lumière, mais pendant très longtemps elle a regretté la robe blanche, moi effrayé du futur d'être papa d'être responsable d'une famille je me disais la nuit « qu'est-ce que je fais là tu pourrais être un célibataire peinard te voilà chef de famille comment tu vas faire? comment revenir en arrière? Tout a été si vite, un pas en avant ne peux être ni annulé ni recommencé
vendredi 20 juin 2008
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2 commentaires:
tu as pris tes responsabilités...et c'est bien... il y en a tellement qui ne l'ont pas fait et qui ne le font pas... tu ne l'as pas regretté, apparemment, d'avoir épousé Marie !!! si on considère l'amour que tu lui portes...(et qu'elle te témoigne tous les jours ... c'était la femme de ta vie... mais il est vrai qu'à cette époque, les parents - surtout ceux qui étaient chrétiens et pratiquants- ne badinaient pas ! j'en connais d'autres qui ont demandé à leur fille de renoncer à la robe blanche dans les mêmes circonstances...Maintenant, on n'est pas si rigide... il y a tellement de jeunes qui vivent ensemble sans se marier (ou avant) et se marient à la mairie et àl'Eglise avec leur premier bébé dans les bras ! l'important est qu'il y ait de l'AMOUR !
38 années sont passées nous avons été tellement heureux nous le savions à l'usine je disais être un homme heureux , je suis un handicapé heureux, il y a tellement d'amour qui m'entoure : marie,enfant, petits-enfants, mère, frère , soeur,neveux, aidants,
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